A. KORN,
Elektrische Fernphotographie und Ahnliches,
Verlag von S. Hirzel, Leipzig, 1904
Introduction historique (pp. 5-6).
Ce livre est le ^remier qu'Arthir Korn conscare à la phototélégraphie. Il utilise encore le terme de Fernsphotographie, qui avait été utilisé par Raphael Eduard Liesegang, auquel il fait référence d-s l'introduction.
Le livre se compose de :
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"Vorwort" (Préface)
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"Historische" Einleitung (Introduction historique)
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"Über eine einfache Methide zur Erzeufung synchroer Rotationen an zwei enternten Stationen unter Verwendung des Frequenzzeigers von R. Hartmann-Kemp"("Sur une méthode simple pour générer des rotations synchrones sur deux stations distantes en utilisant le pointeur de fréquence de R. Hartmann-Kemp")
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La reprise de l'article "Uber Gebe und Empfangsapparate zur elektrischen Fernubertragung von Photographien", Physikalische Zeitschrift, 1904, 5 (4), pp.113-118.
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(Traduction "Sur un appareil transmetteur et un appareil récepteur destinés à la transmission à distance des photographies." in L'éclairage électrique - 1904. Onzième année. Tome XXXIX. N. 14. 18 juin 1904, pp.464-469 ;
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La reprise de l'article "Empfangsapparate für Telautographie und Fernübertragung von Halbtongravüren.", Physikalische Zeitschrift, 1904, 6 (4), pp. 164-167
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Traduction : "Appareil récepteur pour télautographie et transmission des gravures en demi-ton". L'Eclairage électrique, 18 juin 1904 pp.469-472)
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"Erläuternde Bemerkungen und Verbessurngsvorschläge zu vorstehendern Verfahren" («Commentaires explicatifs et suggestions d'amélioration des procédures ci-dessus »)
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"Anhang. Schnelltelegraphie mit der evekuierten Röhre als Registrierapparat im Empfänger". ("Annexe. Télégraphie à grande vitesse avec le tube éjecté comme dispositif d'enregistrement dans le récepteur", qui inclut un segment "Über die aussichten des elektrischen Fernsehens". ("Sur les perspectives de la télévision électrique")
Conclusion : sur les perspectives de la télévision électrique (pp.65-66)
Sur les perspectives de la télévision électrique
Une difficulté majeure sur le chemin de la téléphotographie à la télévision réside, comme déjà souligné dans l'introduction (page 5), dans le raccourcissement des temps de transmission. En principe, bien sûr, ce problème peut être résolu en utilisant de nombreux fils ; on pourrait par exemple laisser une image (fortement agrandie) dans l'émetteur tomber sur un système de cellules de sélénium disposées en mosaïque et connecter chaque cellule à un petit tube lumineux d'un système de mosaïque correspondant dans le récepteur indirectement via un câble long spécial. Cependant, un tel arrangement n’aurait pratiquement aucune signification en raison du coût du système.
Une autre difficulté réside dans la production de cellules au sélénium sensibles, qui permettent l’utilisation quantitative des petites quantités de lumière émanant des éléments d’image dans depuis l'émetteur.(1)
Compte tenu de cette seconde difficulté, il semble pour l'instant plus prometteur de s'efforcer de parvenir à une télévision d'images photographiques que de penser à une véritable télévision d'objets en mouvement.
(1) En photographie longue distance, nous disposons de quantités de lumière beaucoup plus importantes en concentrant la lumière d'une lampe de Nernst de 64 bougies sur un élément du film photographique et en répartissant la lumière transmise sur la deuxième cellule.
"Lampe à incandescence Nernst", La Nature, 24 août 1901.
